Enivrement
Enivrement
à C. B.
Je te dois tant d'amour et tant de sentiments
Que je ne pourrais pas m'acquitter de ma dette.
Je te vois tous les jours emprunté par le vent
Et je ne sais de toi que les froids maux de tête.
Toi qui, tout simplement, m'enfermes dans ma tour
Lorsque la mort me guette et que je n'y crois pas,
Tu vois bien que je mens quand se lève le jour.
Des bruits sourds en ma tête... Il n'y a plus que toi.
Ta volupté farouche
Et ta rougeur exquise
Pendant la nuit me touche
Quand sur un lit de bise
Je défais mon manteau
Je t'aime, ô toi, Pavot!
Que je ne pourrais pas m'acquitter de ma dette.
Je te vois tous les jours emprunté par le vent
Et je ne sais de toi que les froids maux de tête.
Toi qui, tout simplement, m'enfermes dans ma tour
Lorsque la mort me guette et que je n'y crois pas,
Tu vois bien que je mens quand se lève le jour.
Des bruits sourds en ma tête... Il n'y a plus que toi.
Ta volupté farouche
Et ta rougeur exquise
Pendant la nuit me touche
Quand sur un lit de bise
Je défais mon manteau
Je t'aime, ô toi, Pavot!
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