La belle et le lépreux
La belle et le lépreux
O toi, ma pauvre amie que je ne peux aimer
Tu seras dans ma vie une fine rosée
Évaporée à l'aube par mon fier soleil,
O toi, ma destinée, merveille des merveilles.
Voilà mon anathème en ces jours ténébreux
Nous sommes étrangers, toi belle et moi lépreux
Je voudrais bien t'aimer mais infirme je suis
De sentiments si doux... Devant tes bras, je fuis.
Que pourrais-je ajouter pour effacer ta peine
Je sens mes mots pour toi autant de coups d'épée
Et je ne veux blesser ton âme immaculée
Jusqu'à la fin des temps, je serai dans les chaînes
De ce lourd paradoxe (ô toi venin si doux!)
Qui rend mes nuits amères et mes élans fous...
O toi, ma pauvre amie que je ne peux aimer
Tu seras dans ma vie une fine rosée
Évaporée à l'aube par mon fier soleil,
O toi, ma destinée, merveille des merveilles.
Voilà mon anathème en ces jours ténébreux
Nous sommes étrangers, toi belle et moi lépreux
Je voudrais bien t'aimer mais infirme je suis
De sentiments si doux... Devant tes bras, je fuis.
Que pourrais-je ajouter pour effacer ta peine
Je sens mes mots pour toi autant de coups d'épée
Et je ne veux blesser ton âme immaculée
Jusqu'à la fin des temps, je serai dans les chaînes
De ce lourd paradoxe (ô toi venin si doux!)
Qui rend mes nuits amères et mes élans fous...
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