Genèse du Désir
Genèse du Désir
Genèse du Désir, un regard sombre et bleu
Cherchant le mien regard au milieu de la foule
Timidement retient l'intérêt de mes yeux
Et qu'importe combien de temps ainsi s'écoule
L'approche est silencieuse, attirés l'un vers l'autre,
Et le monde alentour aussitôt disparaît
Comme si devant Dieu je devenais apôtre
Et qu'à sa lumière ma vie s'éclairait
Par un troublant miracle nous nous connaissons
Tu es ce que j'attends, la moitié de moi-même,
Blottis l'un contre l'autre, ainsi nous renaissons
Nos larmes de joie sont l'eau de notre baptême
Si souvent j'ai rêvé de ta peau, lisse, douce,
Si souvent j'ai voulu caresser de mes lèvres
Ce champs d'amour immense où rien d'autre ne pousse
Que le fruit du plaisir dont le parfum enfièvre...
Ta main dans mes cheveux, ma bouche est sur ton cou
Et ma main sur tes reins, ta bouche est entrouverte
Un frisson de chaleur qui, nos deux corps, secoue
L'astre est plus lumineux, la nature est plus verte
Et comme au nouveau jour, après la nuit si belle,
Nos deux corps sont un monde au vrai monde apposé
Où nos chants silencieux, notre soleil, appellent
Lorsque nos peaux se sont couvertes de rosée...
Genèse du Désir, un regard sombre et bleu
Cherchant le mien regard au milieu de la foule
Timidement retient l'intérêt de mes yeux
Et qu'importe combien de temps ainsi s'écoule
L'approche est silencieuse, attirés l'un vers l'autre,
Et le monde alentour aussitôt disparaît
Comme si devant Dieu je devenais apôtre
Et qu'à sa lumière ma vie s'éclairait
Par un troublant miracle nous nous connaissons
Tu es ce que j'attends, la moitié de moi-même,
Blottis l'un contre l'autre, ainsi nous renaissons
Nos larmes de joie sont l'eau de notre baptême
Si souvent j'ai rêvé de ta peau, lisse, douce,
Si souvent j'ai voulu caresser de mes lèvres
Ce champs d'amour immense où rien d'autre ne pousse
Que le fruit du plaisir dont le parfum enfièvre...
Ta main dans mes cheveux, ma bouche est sur ton cou
Et ma main sur tes reins, ta bouche est entrouverte
Un frisson de chaleur qui, nos deux corps, secoue
L'astre est plus lumineux, la nature est plus verte
Et comme au nouveau jour, après la nuit si belle,
Nos deux corps sont un monde au vrai monde apposé
Où nos chants silencieux, notre soleil, appellent
Lorsque nos peaux se sont couvertes de rosée...
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