L'Acceptation
L'Acceptation
Au soir, à la rosée, quand je me sens futile,
La fumée du soleil m'entraîne à divaguer.
Je vois la silhouette d'un être rêvé...
C'est alors que je vois que je ne suis tranquille.
Tout autour de mon âme est agressif et fou.
Comme je me sens triste d'en être à ce point,
Ne trouvant le repos même en un sombre coin.
Rien n'est net et précis, je vogue en terrain flou.
Le radeau de ma vie se brise au vent léger,
Il n'existera donc une trêve pour moi,
Aucune paix solide, même avec ma foi...
C'est l'Ange de la Mort qui vient me soulager...
Ô toi Dieu du silence prends mon âme triste
Elle ne peut pleurer puisque plus rien n'existe...
Au soir, à la rosée, quand je me sens futile,
La fumée du soleil m'entraîne à divaguer.
Je vois la silhouette d'un être rêvé...
C'est alors que je vois que je ne suis tranquille.
Tout autour de mon âme est agressif et fou.
Comme je me sens triste d'en être à ce point,
Ne trouvant le repos même en un sombre coin.
Rien n'est net et précis, je vogue en terrain flou.
Le radeau de ma vie se brise au vent léger,
Il n'existera donc une trêve pour moi,
Aucune paix solide, même avec ma foi...
C'est l'Ange de la Mort qui vient me soulager...
Ô toi Dieu du silence prends mon âme triste
Elle ne peut pleurer puisque plus rien n'existe...
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